L'affaire Our Body
Le cabinet, saisi par deux grandes associations de défense des droits de l'homme a fait interdire, en 2010, l'exposition Our Body qui présentait, en plein Paris, des corps humains décharnés, découpés, innervés. L'organisateur de cette exposition était en effet dans l'incapacité de justifier l'origine de ces corps et le prétendu consentement des personnes dont le cadavre était ainsi présenté au public. La décision d'interdiction a été confirmée par la cour d'appel de Paris et la cour de cassation. La France est le seul pays au monde à avoir ainsi rappelé, en une telle occasion, le principe selon lequel le corps humain est hors commerce. De graves indices laissaient d'ailleurs à penser que ces corps, venant de Chine, avaient fait l'objet d'un horrible trafics d'êtres humains. C'est ce que ce procès entendait dénoncer.
Les procès politiques
Le cabinet assure la défense d'hommes politiques de haut rang en Afrique. Il s'agit notamment de ministres placés en détention. Il est ainsi intervenu devant des juridictions d'exception, constituées à l'occasion de ces procès, et devant les juridictions suprêmes des pays concernés.
La restitution des biens culturels
Le cabinet a été saisi de la question tenant à la restitution des biens culturels béninois, par une importante association et par des rois locaux. Il s'agit de biens d'une importance culturelle considérable, aujourd'hui exposés dans les musées français.
La défense des français à l'étranger
Le cabinet intervient régulièrement pour assurer la défense des français détenus à l'étranger. C'est ainsi qu'il a récemment obtenu la mise en liberté d'un ressortissant français détenu au Népal. Il assiste encore actuellement un ressortissant français condamné à mort.
La défense d'avocats
Le cabinet a été saisi de la défense d'avocats poursuivis devant les juridictions pénales ou disciplinaires dans différents pays d'Afrique.